Selon le journal britannique The Telegraph, une japonaise a décidé d'attaquer Google en justice, après avoir vu ses sous-vêtements (qui séchaient sur une corde à linge) affichés sur l'application Street View, et demande 600.000 Yens de dommages et intérêts (soit environ 5400 Euros).
En effet, cette découverte a pour le moins choquée l'intéressée, qui a commencée à développer des troubles psychologiques et une certaine paranoïa, se sentant sans arrêt épiée par d'éventuels pervers qui auraient vu ses sous-vêtements en ligne.
En effet, cette découverte a pour le moins choquée l'intéressée, qui a commencée à développer des troubles psychologiques et une certaine paranoïa, se sentant sans arrêt épiée par d'éventuels pervers qui auraient vu ses sous-vêtements en ligne.
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Commentaires
Tilto:
Street View : Google poursuivi pour des sous-vêtements
n'importe quoi, cette personne à un avocat en manque de revenus, c'est tout. Si la photo à été prise, c'est que c'était déjà visible de tous dans la rue. du linge ça doit sécher dans toutes les civilisations !
didix:
Street View : Google poursuivi pour des sous-vêtements
Si j'étais un voisin, je porterai plainte pour troubles psychologiques causés par la vision de ses sous-vêtements , accrochés en face de chez moi...
Keeper:
Street View : Google poursuivi pour des sous-vêtements
il faut relativiser car il me semble que les japonaises sont extrêmement pudiques avec leur sous-vêtement , à un point que nous, européens, ne pouvons pas comprendre
SYSCOL:
Street View : Google poursuivi pour des sous-vêtements
Si c'est le cas, on ne les fait pas sécher sur la voie publique!
zion:
Street View : Google poursuivi pour des sous-vêtements
Que ce soit visible d'un lieu public ne le rend pas public pour autant. Tu peux être passé furtivement torse nu à ta fenêtre, cela n'autorise pas pour autant Google a publier la dite photo.
Après il y a tout le débat économique, mais sur l'aspect purement vie privée, elle a raison
Après il y a tout le débat économique, mais sur l'aspect purement vie privée, elle a raison