Malgré la haine générale envers la publicité, l'abonnement de base de Netflix a déjà atteint le cap remarquable de 94 millions d'utilisateurs actifs prêts à tolérer quelques pauses promotionnelles pour payer moins cher. Ces données marquent un changement important tant pour ceux qui cherchent à économiser de l'argent que pour l'ensemble du monde du streaming , où les choix du géant américain font désormais office d'exemple. Et bien sûr Netflix se frotte les mains et s'emploie déjà à révolutionner les pauses publicitaires , mais c'est un vent mauvais qui ne souffle de bon sur personne. En effet, de nouveaux formats développés avec l'intelligence artificielle arriveront bientôt , conçus pour être moins gênants et plus « intégrés » aux contenus. Une façon d’améliorer l’expérience, sans renoncer aux économies, du moins nous l’espérons. Le plan financé par la publicité de Netflix change rapidement le marché du streaming . En un peu plus d’un an, le nombre d’utilisateurs actifs est passé de 40 millions à 94 millions , une croissance qui a surpris même les initiés du secteur. La possibilité d'accéder à une grande partie du catalogue en payant moins cher a convaincu de nombreuses personnes, notamment celles qui gardent un œil sur le rapport qualité-prix . Un autre fait intéressant concerne la façon dont nous utilisons ce plan : la plupart des utilisateurs préfèrent regarder Netflix sur la télévision ou sur de grands écrans, afin de ne pas sacrifier la qualité de l'image même en choisissant la solution la moins chère.

La bonne nouvelle est que Netflix semble vouloir rendre la publicité moins invasive et mise beaucoup sur l’intelligence artificielle pour y parvenir. L’idée est simple mais ambitieuse : intégrer les publicités de manière si fluide qu’elles ne brisent pas le rythme de visionnage. Fini les interruptions soudaines, mais des pauses insérées aux bons moments , choisies par des systèmes d’IA capables d’analyser le contexte des scènes. Cette technologie vise à identifier automatiquement les meilleurs endroits pour insérer une publicité en évaluant le ton et le contenu de ce que nous regardons. Ainsi, la publicité devient moins agaçante et plus cohérente avec ce que nous vivons à l’écran.

Comment fonctionnent les nouvelles publicités « intelligentes » de Netflix ?

- Les spots s'adaptent au ton et au contenu des scènes, pour éviter les coupures brusques.
- Des éléments graphiques et sonores sont utilisés pour rendre la transition entre le contenu et la publicité plus naturelle.
- Les annonceurs peuvent expérimenter de nouveaux formats bien plus attrayants que l’interruption télévisée classique.

Cette expérience a déjà commencé aux États-Unis et, selon Netflix, arrivera bientôt dans le reste du monde , y compris en Europe Si tout se passe comme prévu, regarder des films et des émissions de télévision avec des publicités ne sera plus un compromis aussi contraignant.

YouTube a supprimé deux des plus grandes chaînes de bandes-annonces de films générées par l'IA de son programme de partenariat. Cela signifie la fin des revenus publicitaires pour les opérateurs de chaînes et les studios de cinéma, qui partageaient auparavant ces revenus. La plateforme vidéo réagit à la propagation croissante de bandes-annonces faussement réelles de films inexistants. Les soi-disant fan trailers sont devenus un phénomène extrêmement courant sur YouTube. Malgré les critiques à l’encontre de ces chaînes, Screen Culture a à elle seule gagné un nombre impressionnant de 1,42 million d’abonnés. Le deuxième grand fournisseur, KH Studio, compte 724 000 abonnés, tandis que la chaîne alternative Royal Trailer compte 153 000 followers. YouTube répondait une fois de plus à un rapport du magazine spécialisé Deadline qui avait attiré l'attention du public sur ces pratiques. Tout d’abord, la plateforme a mis fin aux revenus publicitaires de Screen Culture et de KH Studio, deux des plus grandes chaînes de bandes-annonces de fans. YouTube a suspendu son partenariat avec ces chaînes pour avoir violé ses politiques de monétisation, arrêtant ainsi le flux de revenus publicitaires qu'elles gagnaient auparavant grâce à leurs fausses bandes-annonces et vidéos similaires. Cette mesure a désormais été étendue à d’autres comptes et ramifications ; plus précisément, le robinet d'argent pour Screen Trailers et Royal Trailer a été fermé.

Cependant, l'enquête a également révélé que plusieurs studios hollywoodiens, dont Warner Bros. Discovery et Sony, n'ont pas pris de mesures contre ces vidéos portant atteinte aux droits d'auteur, mais ont plutôt demandé à YouTube de rediriger les revenus publicitaires des vidéos lourdes en IA vers eux. Les studios eux-mêmes ont refusé de commenter l'affaire depuis qu'elle est connue. La raison pour laquelle les studios hollywoodiens n'ont pas confronté ces chaînes avec des plaintes pour violation de droits d'auteur peut également s'expliquer par la publicité supplémentaire que ces faux apportent aux vrais films et séries. Cela a empêché les détenteurs de droits d’engager des poursuites judiciaires. Les directives de YouTube stipulent que les créateurs qui prennent du matériel d'autres personnes doivent « le modifier de manière significative pour le rendre leur propre » afin de le monétiser. De plus, le contenu ne doit pas être duplicatif ou répétitif et ne doit pas être créé uniquement dans le but de générer du trafic. Le contenu qui a été manipulé ou modifié pour tromper les téléspectateurs n'est pas non plus autorisé. Les fondateurs des deux chaînes ont précédemment déclaré qu'il était décevant de voir leurs vidéos classées dans la catégorie « contenu trompeur » dans la décision de démonétisation, car ils n'avaient pas l'intention de déformer les publications authentiques. Cependant, cette affirmation est discutable étant donné qu'une vidéo d'il y a un mois était intitulée « Marvel Studios Avengers: Doomsday | Bande-annonce divulguée ». Cependant, les bandes-annonces les plus récentes contiennent généralement le mot « concept » dans le titre. Il reste à voir si ces chaînes survivront sans l’argent de la publicité de YouTube.

Depuis quelques semaines, regarder une série sur Prime Video est devenu un exercice de patience. Les pauses publicitaires sont devenues plus longues, plus fréquentes et même un peu aléatoires . Même pendant le contenu original d'Amazon , 3 ou 4 blocs d'une durée de plus d'une minute apparaissent désormais . Et ce ne sont pas des épisodes particulièrement longs : un épisode de 40-50 minutes suffit pour se retrouver avec plus de 3 minutes de publicités disséminées ici et là, sans logique apparente. Il s'agit d'un streaming se faisant passer pour la télévision traditionnelle , sauf que nous payons pour cela chaque année. Dès l'automne 2024, Amazon avait officiellement confirmé que la publicité sur Prime Video allait augmenter ( source ). Le but ? Comprendre jusqu'où aller sans perdre d'utilisateurs . Lors de tests menés sur différents marchés, l'impact sur les abonnements a été minime, ce qui a convaincu Amazon d' avancer à toute vitesse . Et en fait, il semble que seul un faible pourcentage d’utilisateurs ait choisi de payer pour supprimer les publicités. L’expérience de Netflix avec son offre financée par la publicité – qui a été plutôt réussie – a probablement renforcé ce choix.

Amazon, de son côté, a commencé à expérimenter de manière de plus en plus agressive , en mélangeant les formats et les durées des publicités, jusqu'à atteindre la situation actuelle. L’une des choses les plus frustrantes est qu’il n’y a pas de comportement cohérent . Parfois, les interruptions sont rares et rapides, d’autres fois elles semblent interminables. Le système semble être basé sur des algorithmes dynamiques qui prennent en compte divers facteurs :

- Fréquence d'utilisation de la plateforme
- Type de contenu affiché
- Profilage des utilisateurs
- Chance (littéralement)

Nous avons essayé d'ouvrir plusieurs épisodes à partir de navigateurs et d'applications Windows , et dans presque tous les cas, nous avons été confrontés à trois pauses publicitaires d'une durée de plus d'une minute chacune. Dans d’autres cas, cependant, l’expérience était moins invasive, notamment avec un visionnage continu. Amazon offre la possibilité de revenir à une expérience sans publicité , mais uniquement en payant une prime. L'option coûte 1,99 € par mois , à ajouter à l' abonnement Prime de 49,99 € . Au total, cela représente environ 73 euros par an .

Netflix a annoncé le déploiement prochain d'une nouvelle interface utilisateur. Il sera notamment possible de trouve plus facilement votre prochain grand film (avec des mentions telles que « Lauréat d'un Emmy Award » ou « N° 1 des séries »), les raccourcis seront plus visibles (Jusqu'à présent, les raccourcis vers la Recherche et Ma Liste étaient quelque peu cachés sur le côté gauche, ils seront déplacés en haut de la page), de meilleures recommandations en temps réel seront apportées et la conception globale sera améliorée : la nouvelle page d'accueil présente une conception épurée et moderne qui reflète mieux l'expérience améliorée à laquelle vous vous attendez sur Netflix.

YouTube élargit sa gamme d'abonnements premium et teste actuellement un nouveau modèle spécifiquement destiné à deux personnes. La phase de test est actuellement en cours dans quatre pays sélectionnés, à savoir l’Inde, la France, Taïwan et Hong Kong. Avec cette mesure, la filiale de Google répond à une lacune dans son portefeuille d'abonnements existant, qui jusqu'à présent s'adressait principalement aux particuliers et aux familles nombreuses. La nouvelle offre est proposée à un prix compris entre les abonnements individuels et familiaux. En Inde, par exemple, l’abonnement premium régulier coûte 140 roupies (environ 86 centimes) par mois, tandis que le forfait familial coûte 299 roupies (environ 1,83 euro). Le nouveau modèle pour deux personnes y est proposé à 219 roupies (environ 1,34 euro), offrant une alternative plus économique pour les couples ou les ménages de deux personnes. « Nous expérimentons de nouvelles façons d'offrir plus de flexibilité et de valeur à nos abonnés YouTube Premium, notamment un forfait Premium pour deux personnes qui leur permet de partager un abonnement à un coût réduit », a déclaré un porte-parole de YouTube, selon Moneycontrol. La nouvelle offre est similaire au forfait « Duo » de Spotify et s'adresse aux personnes qui souhaitent profiter de YouTube Premium sans avoir à acheter un abonnement familial complet.

Le test de l'abonnement pour deux personnes fait suite au lancement récent de YouTube Premium Lite en mars de cette année. Cette version allégée offre un visionnage sans publicité de la « plupart » des vidéos pour 5,99 € par mois, mais manque de fonctionnalités telles que la lecture en arrière-plan, les téléchargements et les clips musicaux sans publicité. Premium Lite est actuellement disponible aux États-Unis, en Australie, en Allemagne et en Thaïlande. Une telle diversification accrue pourrait aider YouTube à attirer de nouveaux abonnés et potentiellement à reconquérir d’anciens clients qui sont partis après les augmentations de prix de ces dernières années. Selon les chiffres officiels, YouTube Music et YouTube Premium comptent déjà ensemble plus de 125 millions d'utilisateurs dans le monde, y compris les abonnements d'essai.

Parfois, il suffit d’une blague murmurée pour perdre le fil d’une série. Et s’il y a un voisin qui coupe la pelouse, la situation empire. Netflix le sait bien : aux États-Unis, près de la moitié des heures de visionnage se font avec les sous-titres activés. C'est pour cette raison qu'il introduit désormais une nouvelle fonctionnalité qui pourrait également intéresser de nombreuses personnes ici : des sous-titres en langue originale qui ne montrent que les dialogues parlés , sans effets sonores ni noms de personnages. Jusqu'à présent, pour avoir des sous-titres en langue originale, il fallait activer ceux pour les sourds et malentendants (SDH), remplis de descriptions telles que [musique dramatique] ou [porte qui claque] . Pas vraiment génial si on veut juste lire ce qui est dit.

Le premier contenu à intégrer cette option est la cinquième saison de YOU , qui vient d'arriver sur Netflix. Mais cela ne restera pas un cas isolé. La fonctionnalité sera étendue à tous les nouveaux titres originaux , dans toutes les langues prises en charge par la plateforme. En ouvrant le menu classique pour choisir la langue et les sous-titres, nous trouverons deux versions :

- Français : uniquement des mots parlés, pas de distractions
- Français (CC) : comprend des bruits, des descriptions et des noms de personnages

Un choix simple mais puissant. Et particulièrement utile pour ceux qui regardent des séries dans leur langue d'origine sans vouloir être bombardés de suppléments indésirables. Netflix nous rappelle qu'il est toujours possible de personnaliser l'apparence des sous-titres : on peut changer la taille, la police et la couleur , afin de les rendre plus lisibles sur n'importe quel écran. C'est une excellente nouvelle pour ceux qui regardent pendant que quelqu'un d'autre dort, dans des environnements bruyants ou qui veulent simplement mieux suivre des dialogues complexes ou des actions rapides .

Le 23 avril 2005, la première vidéo, « Moi au zoo », a été mise en ligne sur YouTube. Deux décennies plus tard, YouTube est la plateforme de vidéo en ligne la plus populaire au monde avec des milliards d’utilisateurs. Environ 6,5 millions de personnes en Suisse utilisent la plateforme chaque mois. YouTube célèbre son 20e anniversaire. À partir d'un clip de 19 secondes du zoo de San Diego, la plateforme n'a cessé de croître au fil du temps. YouTube est non seulement devenu l’un des piliers les plus importants de l’industrie créative, mais a également révolutionné la façon dont nous consommons et produisons des vidéos. La plateforme a créé de nouvelles opportunités de divertissement, d’éducation et d’information – toujours avec la mission déclarée de donner la parole à chacun.

Les premiers créateurs de contenu sur YouTube ont fait un travail de pionnier : ils sont devenus des conteurs multidimensionnels, ont construit leurs propres studios et ont produit du contenu qui a attiré le public dans leur salon. Aujourd’hui, YouTube propose des productions qui rivalisent depuis longtemps avec les formats traditionnels du cinéma et de la télévision en termes de qualité et de narration. Au cours des trois dernières années, YouTube a versé plus de 70 milliards de dollars aux créateurs, contribuant ainsi de manière significative à l’économie créative mondiale. Environ trois millions de créateurs dans le monde bénéficient des revenus de YouTube – plus de 500 000 d’entre eux sont actifs depuis plus d’une décennie.

YouTube a annoncé une nouvelle fonctionnalité d'IA appelée « instrumentaux personnalisés ». Cette fonctionnalité fait partie de la version bêta de Creator Music dans le tableau de bord YouTube. YouTube souhaite offrir aux créateurs de vidéos une alternative simple et gratuite à la musique de fond libre de droits. Cette fonctionnalité permet aux utilisateurs de créer leur propre musique instrumentale à partir d'invites textuelles, par exemple en décrivant l'instrumentation, l'ambiance ou le type de vidéo souhaités. YouTube souligne que ces pistes générées sont libres d'utilisation, sans risque de réclamation de droits d'auteur. Bien que cette évolution puisse offrir aux créateurs davantage de liberté créative et des économies de coûts, elle soulève également des questions quant à son impact sur l’industrie musicale existante. Les entreprises qui basent leur modèle de revenus sur la concession de licences de production musicale pourraient perdre des parts de marché. Dans le même temps, on ne sait pas encore dans quelle mesure cette musique IA remplacera réellement les morceaux commerciaux, et quel effet cela aura sur les revenus des labels et des détenteurs de droits via Content ID.

Peut-être en réponse à une concurrence accrue, OpenAI vient d'annoncer qu'il disait adieu aux crédits pour l'utilisation de Sora , son générateur de vidéo alimenté par l'IA . La nouveauté, que tous les utilisateurs de la plateforme reçoivent sous la forme d'une fenêtre pop-up lors de l'ouverture de l'outil, signifie que, quel que soit notre forfait payant, Plus ou Pro, nous pouvons créer un nombre illimité de vidéos. Auparavant, les abonnés au forfait payant ChatGPT Plus coûtant 23 euros par mois pouvaient accéder à 1 000 crédits (suffisant pour 50 vidéos), qui avec le forfait ChatGPT Pro coûtant 229 euros par mois sont devenus 10 000 (500 vidéos). Mais ce n'est plus le cas : tous les plans ont un accès illimité à Sora, Avec le plan ChatGPT Plus, vous aurez accès aux fonctionnalités suivantes :

- Résolution jusqu'à 720p et durée vidéo de 10 s
- Jusqu'à 2 générations simultanées

Avec le plan ChatGPT Pro , vous bénéficiez toutefois de plusieurs avantages :

- Des générations plus rapides
- Résolution jusqu'à 1080p et durée vidéo de 20 s
- Jusqu'à 5 générations simultanées
- Vidéo sans filigrane

Bien sûr, « génération illimitée » ne signifie pas qu’il n’y a aucune limite. OpenAI rappelle que l'utilisation doit être conforme aux Conditions d'utilisation , qui n'autorisent pas « l'utilisation abusive, telle que l'exploration automatisée ou programmatique de données, ainsi que le partage ou la revente de comptes ». L'entreprise prévient également qu'elle dispose d'outils pour « prévenir les abus ». Pour le moment, nous ne connaissons pas la raison de cette décision. D’autres outils similaires comme Adobe Firefly utilisent un système de crédit, et OpenAI souhaite peut-être se garantir un avantage sur ses concurrents. Il y a des rumeurs en ligne selon lesquelles l'utilisation est inférieure aux attentes et que les limitations de Sora sont si évidentes qu'il ne s'agit pas encore d'un outil pour les professionnels, mais ce ne sont que des rumeurs non confirmées et il est difficile d'avoir une idée claire.

Netflix n’est pas le seul à augmenter ses prix : Plex vient également de partager une mise à jour de ses conditions d’utilisation avec quelques mauvaises nouvelles. Augmentation des frais de Plex Pass et suppression de la lecture à distance pour les utilisateurs gratuits. En effet, à partir du 29 avril 2025, les prix de la formule d'abonnement subiront les changements suivants (le communiqué parle de dollars, mais nous imaginons qu'ils seront traduits en euros puisque les coûts actuels sont les mêmes pour les euros et les dollars) :

- Abonnement mensuel : de 4,99 euros par mois à 6,99 euros par mois
- Abonnement annuel : de 39,99 euros par an à 69,99 euros par an
- Abonnement à vie : de 119,99 euros à 249,99 euros

Des augmentations significatives, qui dans le cas de la licence à vie sont même plus du double. Les abonnés à vie du Plex Pass ne verront aucun changement, mais les abonnés mensuels et annuels verront leurs prix augmenter après avril. Jusqu'au 29 avril , vous avez la possibilité d'acheter un abonnement pour éviter le surcoût, et la licence à vie, ou au moins l'abonnement annuel, sont plus attractifs que jamais. N'oubliez pas que Plex Pass vous donne accès à de nombreux avantages, notamment :

- Téléchargez du contenu pour une visualisation hors ligne à partir d'applications Android et iOS
- Télévision en direct en connectant un tuner et un DVR pour enregistrer les émissions
- Contrôle parental
- Webhook, pour connecter le serveur multimédia au système domotique
- Tableau de bord, pour voir l'historique de lecture, la bande passante et les principaux utilisateurs du serveur multimédia
- Magie musicale : fondu, niveau sonore, paroles et plus

Pour la défense de Plex, qui a justifié les nouveaux prix par la hausse des coûts, il faut admettre qu'il s'agit de la première augmentation des coûts d'abonnement depuis plus de 10 ans. Parallèlement à l’augmentation du Plex Pass, il y a également de mauvaises nouvelles pour les utilisateurs gratuits : Plex ne leur proposera plus de lecture à distance pour les médias personnels. Les utilisateurs de Plex qui souhaitent pouvoir diffuser du contenu qui n'est pas sur le même réseau local que le serveur auront donc deux options :

- Abonnez-vous à Plex Pass , qui permettra aux propriétaires de serveurs de fournir un streaming multimédia à distance à leurs amis et à leur famille sans frais supplémentaires (donc seul le propriétaire du serveur a besoin du Plex Pass, pas les utilisateurs qui diffusent le contenu). Cette solution permet aux utilisateurs d'accéder à d'autres avantages du Pass, comme sauter l'intro et les crédits.
- Activez le nouveau forfait Remote Watch Pass , qui arrivera le 29 avril 2025 et coûtera 1,99 $ par mois ou 19,99 $ par an (nous supposons que les prix sont les mêmes en euros). Cette solution s'adresse à ceux qui souhaitent diffuser des médias sans héberger de serveur et permet aux utilisateurs individuels de diffuser des médias à distance à partir de n'importe quel serveur multimédia personnel auquel ils ont accès, même si le propriétaire de ce serveur ne dispose pas d'un Plex Pass.
- Les utilisateurs de Plex qui disposent déjà d'un Plex Pass pourront continuer à utiliser la lecture à distance à partir de n'importe quel serveur multimédia Plex après la mise en œuvre des modifications, tout comme les utilisateurs qui ont accès à leurs serveurs .

Ce changement a également un impact sur les frais d'activation uniques qui suppriment la limitation de lecture d'une minute dans les applications Plex iOS et Android lors de la diffusion de contenu à partir d'un serveur multimédia Plex. Étant donné que le streaming à distance deviendra un service payant, il n'y aura plus de frais (les changements entreront en vigueur une fois que la nouvelle application mobile aura quitté la version préliminaire). Enfin, des modifications ont également été apportées à la politique de confidentialité et aux conditions d'utilisation (CGU) du service, qui n'affectent que les utilisateurs qui ont créé un compte après le 20 mars 2025. Voici les modifications qui ont été mises en œuvre, avec plus de détails sur les données collectées, pourquoi, comment elles sont utilisées et si elles peuvent être partagées ou vendues.