Sony a lancé une nouvelle vague d'interdictions contre les comptes PlayStation Network des utilisateurs russes qui, en s'inscrivant dans d'autres régions, tentaient de contourner l' interdiction d'accès à PlayStation Plus . Depuis que la société japonaise a interrompu ses ventes et ses services en Russie en 2022 pour protester contre l'invasion de l'Ukraine, de nombreux joueurs russes ont tenté de contourner les restrictions en créant de nouveaux comptes dans des pays comme la Turquie, l'Inde, l'Ukraine et le Kazakhstan. Cependant, le géant japonais a désormais commencé à identifier ces tentatives et à suspendre les comptes concernés, à partir de début mai. Selon plusieurs témoignages rapportés aussi bien sur les réseaux sociaux que sur les sites internet russes et occidentaux, les blocages sont devenus systématiques et irréversibles, grâce au traçage des adresses IP. De nombreux utilisateurs ont signalé la suspension de profils contenant des centaines de jeux numériques achetés légalement, sans possibilité de récupération ou de remboursement. Sony considère en effet ces enregistrements comme des violations flagrantes de ses politiques et n'offre aucune assistance aux utilisateurs concernés.

Cette répression démontre la fermeté de Sony quant au respect des restrictions imposées après le début de la guerre. Les sanctions n'affectent pas seulement le PlayStation Plus, mais l'ensemble de l'écosystème PSN, rendant ainsi les comptes concernés inutilisables. Toute personne ayant acheté des comptes ou des services via des marchés externes ou des VPN voit désormais son accès complètement révoqué. La décision de Sony s’inscrit dans le cadre d’une initiative internationale plus large visant à isoler numériquement la Russie. Pour les étudiants et les passionnés, cette histoire représente un exemple clair de la manière dont les entreprises technologiques peuvent utiliser la géolocalisation et le contrôle des données pour appliquer des sanctions mondiales, même dans le monde du jeu.

Nintendo travaille en étroite collaboration avec Samsung sur la Switch 2 : le groupe technologique sud-coréen est responsable de la fabrication de la puce centrale, qui est basée sur une conception développée par Nvidia et produite à l'aide du procédé 8 nanomètres. C'est ce qu'écrit le service économique Bloomberg . Cette décision stratégique devrait permettre à Nintendo d’expédier plus de 20 millions d’unités d’ici mars 2026, soit bien plus que prévu précédemment. Pour Samsung, cette commande représente un succès important sur le marché hautement concurrentiel de la fabrication sous contrat, jusqu'ici dominé par TSMC. Cet accord est perçu comme une validation de l'activité de fonderie de Samsung, qui gagne une nouvelle confiance en remportant un contrat pour un produit électronique très demandé dans le monde entier. En plus des processeurs, Samsung fournit depuis des années des modules de mémoire et des écrans OLED pour les consoles Nintendo.

À l’avenir, l’écran de la Switch 2 pourrait être à nouveau mis à niveau ; Samsung s'est fortement engagé en interne à utiliser la technologie OLED dans une version ultérieure de la console. Le passage de TSMC à Samsung s'explique également par des avantages techniques : la nouvelle puce Nvidia est spécifiquement optimisée pour l'environnement de fabrication de Samsung. Cela permet à Nintendo de sécuriser sa capacité de production sans être en concurrence directe avec les grosses commandes d'Apple chez TSMC. L'entreprise japonaise ne fait aucun commentaire officiel sur ses fournisseurs.

Voici le résumé du dernier direct d'eXtas1 sur les rumeurs vérifiées et les fuites de ses sources :

Intégration de Steam/Epic dans le Microsoft Store
Une nouvelle application appelée « Steam DF Beta » est apparue dans le Microsoft Store, permettant aux utilisateurs d'installer Steam directement depuis la boutique officielle. L'Epic Games Store est déjà intégré de la même manière. Cela ne signifie pas que les consoles Xbox actuelles (Series X/S, One) exécuteront Steam de manière native, mais que Windows (et les futures Xbox basées sur Windows) offriront une expérience de téléchargement/installation plus simple. Par ailleurs, Microsoft développe une couche de compatibilité ou « shell » pour donner à Windows une interface de type console (similaire au mode Big Picture de Steam), adaptée à la fois aux jeux sur PC et aux systèmes Xbox de nouvelle génération .

Émulation Xbox sur PC
Un émulateur Xbox pour Windows (architecture x64) est en cours de développement, permettant aux utilisateurs de jouer à leur bibliothèque Xbox sur PC en émulant la console plutôt qu'en exécutant les ports PC natifs des jeux. Les sauvegardes et les succès resteront séparés entre Steam, Microsoft Store/Xbox et ne seront pas synchronisés automatiquement.

Rétrocompatibilité et titres « Pass-Through »
Il n'est pas prévu d'ajouter de nouveaux jeux rétrocompatibles au-delà de ce qui est déjà disponible, mais le fonctionnement de l'émulateur permettra à l'ensemble de la bibliothèque Xbox de fonctionner sur PC.

Évolution du Game Pass
Le Game Pass (y compris le PC Game Pass et l'Ultimate) restera une pierre angulaire stratégique et ne sera pas abandonné. De nouveaux niveaux arrivent : cloud uniquement, financé par la publicité, PC uniquement, Ultimate, etc. Une restructuration des prix est imminente, ce qui entraînera probablement une augmentation des frais, en particulier pour le niveau PC.

Une récente offre d'emploi de Qualcomm a relancé les spéculations sur une éventuelle Xbox de nouvelle génération alimentée par un processeur ARM . Le texte parle clairement de soutenir « les activités de vente pour les prochaines générations de Surface et Xbox avec les solutions Snapdragon ». L'idée d'une console Xbox basée sur l'architecture ARM – un départ des processeurs x86 actuels d'AMD – a rapidement attiré l'attention des passionnés et des analystes. Mais les choses ne sont peut-être pas aussi révolutionnaires qu’elles le paraissent. Si la référence à la Xbox semble sans équivoque, la plupart des sources crédibles, comme Windows Central et Thurrott, précisent qu'il n'existe aucun projet concret d'équiper la prochaine Xbox de puces Qualcomm. Le véritable objectif de l’annonce pourrait être la compatibilité de l’application Xbox et des services Game Pass sur les appareils Surface basés sur ARM, plutôt que sur une console autonome. L’intérêt de Microsoft pour les processeurs ARM, en revanche, est réel. La gamme Surface a déjà commencé la transition, et l'idée d'une console portable similaire à la Nintendo Switch, peut-être avec des puces ARM plus efficaces, est techniquement attrayante. Le projet Kennan, développé en collaboration avec ASUS, suggère que Microsoft expérimente un hybride PC-console, avec une interface Xbox simplifiée sur Windows 11 et la possibilité d'une station d'accueil pour les jeux TV.

Le principal obstacle reste cependant la compatibilité avec des milliers de jeux Xbox existants, tous conçus pour l'architecture x86. L’émulation stable de ces titres sur ARM nécessiterait une puissance de traitement que les puces Snapdragon ne peuvent pas encore fournir. Microsoft semble pleinement conscient du risque et a récemment lancé une recherche de professionnels pour une équipe dédiée à la compatibilité multi-appareils, signe que l'entreprise vise un écosystème Xbox flexible, mais toujours ancré dans le matériel traditionnel. Le poste vacant pour ce nouveau collaborateur chez Qualcomm consiste à « soutenir les efforts de vente des produits Surface et Xbox de nouvelle génération équipés des solutions Snapdragon, en se concentrant sur l'identification et la création d'opportunités commerciales stratégiques pour Qualcomm dans ces domaines. » Le nouveau collaborateur collaborera avec les responsables juridiques, financiers, commerciaux, marketing et terrain afin de contribuer à la définition du portefeuille de produits Surface et Xbox de nouvelle génération. En bref, l’idée d’une Xbox ARM n’est pas totalement hors de question, mais pour le moment, il s’agit davantage d’une aspiration stratégique que d’un projet concret.

Nintendo a corrigé une erreur sur son site officiel Switch 2 et a confirmé que la nouvelle console prend en charge le taux de rafraîchissement variable (VRR) exclusivement en mode portable. L'information initialement diffusée selon laquelle le VRR était également disponible en mode TV via la station d'accueil a été publiée par erreur. La société s'est excusée pour les informations erronées. La Nintendo Switch 2 ne prend en charge le VRR qu'en mode portable. Cette information erronée a été initialement publiée sur le site web de la Nintendo Switch 2. Nous nous excusons pour cette erreur . Pour les utilisateurs qui espéraient une reproduction d'image fluide sur leur téléviseur, cela représente une limitation pour le moment. Interrogé, Nintendo a laissé ouverte la question de savoir si une future mise à jour du firmware pourrait activer le VRR en mode docké. Il n'y a pas encore d'annonce officielle à ce sujet.

Après des mois de spéculations et de fuites, Nintendo a publié les spécifications techniques officielles de la Nintendo Switch 2 , dissipant ainsi tous les doutes sur le véritable potentiel de la console hybride de nouvelle génération. Et alors que certaines fonctionnalités étaient déjà apparues dans des documents techniques et des déclarations indirectes, cette fois-ci, les informations proviennent directement de la source, confirmant un saut générationnel clair par rapport à la première Switch. Au cœur de la nouvelle machine se trouvera un System-on-Chip développé avec Nvidia, conçu sur mesure pour Nintendo, capable de prendre en charge des technologies modernes comme le DLSS et le ray tracing. En attendant le lancement officiel de la console , prévu pour le 5 juin 2025, la firme de Kyoto a révélé que le processeur choisi est un ARM Cortex A78C octa-core, avec une architecture 64 bits et des instructions cryptographiques actives. Chaque cœur dispose d'un cache L1 de 64 Ko (instructions et données) et d'un cache L2 de 256 Ko, tandis que l'ensemble du bloc CPU partage un cache L3 de 4 Mo. Six de ses huit cœurs sont destinés aux développeurs, les deux autres étant réservés au système d'exploitation. Les fréquences d'horloge atteignent 1101 MHz en mode portable, 998 MHz en mode docké, avec un maximum théorique de 1,7 GHz dans des cas particuliers.

Côté graphisme, la Nintendo Switch 2 abandonne l'ancienne architecture Maxwell pour adopter Ampere, la même architecture que les puces Nvidia RTX 30. Le GPU dispose de 1536 cœurs CUDA, avec des horloges variables entre 561 MHz (mobile) et 1007 MHz (amarré), jusqu'à un maximum de 1,4 GHz. Cela se traduit par une performance théorique allant jusqu'à 3 072 TFLOP en mode ancré, avec prise en charge du ray tracing (jusqu'à 20 gigarays/s) et du DLSS (1x, 2x, 3x et DLAA). Cependant, certaines ressources graphiques sont réservées par le système, comme c'est le cas du CPU. La Switch 2 sera dotée de 12 Go de RAM LPDDR5X, avec une bande passante de 102 Go/s en mode docké et de 68 Go/s en mode portable. De ce total, 3 Go sont réservés au système, laissant 9 Go réellement disponibles pour les jeux. À titre de comparaison, la Switch originale n'offrait que 4 Go au total, dont 3,2 Go étaient accessibles aux développeurs. Le stockage interne est de 256 Go UFS, extensible jusqu'à 2 To via microSD Express, et géré par un nouveau moteur matériel de décompression de fichiers (FDE), utile pour réduire les temps de chargement sans surcharger le CPU.

L'écran sera un LCD de 7,9 pouces, résolution 1080p, prise en charge HDR10, jusqu'à 120 Hz VRR et multi-touch 10 points. Cependant, le VRR n'est actif que sur l'écran intégré : il n'est pas pris en charge via HDMI, probablement en raison des limitations du convertisseur DisplayPort inclus dans la station d'accueil. Il reste à voir si Nintendo comblera cette lacune dans les modèles suivants. Enfin, parmi les nouvelles fonctionnalités du système, il faut mentionner Game Chat, une fonction intégrée qui permet la communication vocale dans les jeux mais consomme des ressources système. À cette fin, Nintendo fournit aux développeurs des outils pour tester l’impact du Game Chat sur les performances en simulant la latence de l’API et les réductions de cache. Avec les kits de développement désormais entre les mains des développeurs, attendez-vous à un flot de jeux prêts à mettre en valeur le véritable potentiel de la console dès juin 2025.

Dans son dernier rapport trimestriel, Sony a envoyé un signal qui pourrait inquiéter de nombreux fans : le prix de la PlayStation 5 pourrait augmenter à l'avenir . La cause ? Les politiques tarifaires actuelles entre les États-Unis et la Chine ont un impact important sur les coûts de production mondiaux. L'annonce a été faite par le directeur financier Lin Tao, qui a expliqué comment l'entreprise tente de couvrir un impact estimé à environ 100 milliards de yens - l'équivalent de 590 millions d'euros - en raison des tarifs actuellement en vigueur. Sony n'a pas encore annoncé officiellement d'augmentation de prix, mais a clairement indiqué qu'il évaluait toutes les options possibles : de la répercussion éventuelle des coûts sur les consommateurs à la réaffectation des expéditions vers des marchés plus durables. Le choix, selon Tao, dépendra de l’évolution du marché et de la réglementation, et sera fait en tenant compte de divers facteurs.

Le PDG de Sony, Hiroki Totoki, est également intervenu, soulignant la complexité du problème. Si la production locale aux États-Unis peut sembler une solution efficace, la réalité est bien plus complexe : les composants de la PS5 (qui vient de dépasser les 77 millions d'unités expédiées ) sont fabriqués dans différentes régions du monde, et déplacer l'ensemble du processus de production n'est pas du tout simple, ni rapide. La situation est rendue encore plus délicate par le fait que d'autres entreprises du secteur interviennent déjà sur les prix : Xbox a récemment augmenté le coût de tout son matériel, tandis que Nintendo a annoncé que sa nouvelle Switch 2 débutera à 450 dollars. De plus, les deux sociétés augmentent également les prix de leurs jeux vidéo, les titres devant coûter 80 $ à partir de fin d'année 2025.

Nintendo a mis à jour les conditions d'utilisation de ses services et l'avertissement est clair : si nous utilisons la console de manière non autorisée, elle pourrait devenir inutilisable . C'est écrit noir sur blanc : modifier votre Switch, installer des émulateurs ou jouer à des jeux piratés peut entraîner le blocage de votre appareil ou de certaines parties de ses services. Pour continuer à utiliser l'eShop, Switch Online et les jeux numériques , vous devez accepter les nouvelles règles. En pratique, plus de 100 modifications ont été apportées au contrat, mais la plus inquiétante concerne ceux qui « bricolent » le système. Nintendo précise désormais que toute utilisation non conforme – comme le contournement des protections, l'installation de logiciels non officiels ou la diffusion de contenus modifiés – peut entraîner un blocage partiel ou total de la console. Sans avertissement.

Les nouvelles conditions énumèrent clairement ce que vous ne pouvez pas faire avec les services et appareils Nintendo. Les comportements interdits incluent :

- copier, modifier ou distribuer toute partie du système ;
- contourner ou altérer les dispositifs de sécurité ;
- installer des logiciels piratés ou non autorisés ;
- utiliser du matériel ou un logiciel pour modifier le fonctionnement de la console.

Nintendo se réserve le droit de rendre les services et même l'appareil lui-même inutilisables si l'un de ces comportements est détecté. Il n'est pas expliqué si le blocage sera complet ou seulement partiel, mais le message est clair : tolérance zéro . Une curiosité : au Royaume-Uni, la clause est moins sévère. Il y est uniquement question d'une « utilisation non autorisée du produit numérique » qui peut entraîner sa désactivation. Aucune référence explicite à la console. Qui sait si cela ne dépend pas d'une loi locale avec laquelle Nintendo pourrait être en conflit. L’actualité ne s’arrête pas au contrat d’utilisation. Nintendo a également mis à jour sa politique de confidentialité et se réserve désormais le droit de surveiller les discussions vocales en ligne . L’objectif déclaré est d’assurer un environnement de jeu sûr et familial.

Nintendo durcit ses conditions d'utilisation et se réserve le droit de rendre définitivement inutilisables les consoles Switch manipulées. Dans une version mise à jour du contrat de compte Nintendo, la société souligne qu'elle peut désactiver les systèmes dont les utilisateurs contournent les mécanismes de sécurité ou modifient les fonctions du logiciel. Cela inclut les personnes qui modifient ou décryptent des jeux ou des services, ou qui accèdent à des fonctions avec du matériel non autorisé. La nouvelle clause concerne tous ceux qui utilisent les offres numériques de Nintendo, telles que l'eShop, Switch Online ou les jeux téléchargés. Les utilisateurs doivent accepter l’accord avant d’accéder à ces services. Ceux qui dépendent exclusivement des supports physiques restent largement épargnés. Nintendo souligne que tout contournement des mécanismes de protection, que ce soit par le biais de logiciels ou de matériel, constitue une violation des conditions. Dans les cas extrêmes, l’appareil concerné peut être complètement ou partiellement désactivé.

Nintendo a levé le voile sur ses prévisions officielles concernant la Nintendo Switch 2 , partagées spécifiquement lors de son nouveau rapport financier. Le géant de Kyoto prévoit de vendre environ 15 millions de consoles entre le lancement (estimé autour du 5 juin 2025) et la fin de l'exercice fiscal, fixée au 31 mars 2026. Un chiffre important qui, bien que légèrement inférieur aux 17,79 millions d'unités vendues par la Switch originale au cours de sa première année, est impressionnant étant donné qu'il fait référence à une période plus courte. Côté logiciel, Nintendo s'est également montré confiant : il table sur 45 millions d'exemplaires vendus entre les jeux développés en interne et par des tiers. C'est en baisse par rapport aux 63,5 millions de jeux vendus au cours du premier exercice financier de la Switch 1, mais cela suggère toujours une forte dynamique initiale pour la nouvelle plateforme. Pendant ce temps, la Nintendo Switch continue de battre des records : les ventes totales ont atteint 152,12 millions d'unités au 31 mars 2025, confirmant sa position comme l'une des consoles les plus vendues de tous les temps et approchant le record historique de 160 millions pour la PlayStation 2. Nintendo prévoit de vendre 4,5 millions de Switch 1 supplémentaires et 105 millions de jeux au cours de l'exercice en cours.