
Cette loi, le National Defense Authorization Act (NDAA), interdit de manière générale aux administrations fédérales et à leurs sous-traitants d’utiliser les équipements de Huawei pour des raisons de sécurité nationale en raison des liens présumés entre ce groupe et les autorités chinoises. L’entreprise chinoise a constamment démenti tout contrôle du gouvernement, de l’armée ou des services de renseignement chinois sur ses activités. Song Liuping, responsable juridique chez Huawei, a déclaré mercredi que le groupe réfléchissait aux moyens d’obtenir la levée de cette interdiction, qui, selon lui, affecte plus de 1.200 fournisseurs et constitue une menace, en bout de chaîne, pour ses trois milliards de clients dans 170 pays.
