Selon une étude commanditée à IDC par Microsoft, dans 5 ans, 90% des emplois belges nécessiteront des connaissances informatiques. Plus précisément, les emplois de demain exigeront les connaissances suivantes :
pas de connaissance informatique exigée : 10% des emplois
connaissance en e-business : 12% des emplois
connaissances informatiques avancées : 19% des emplois
connaissances informatiques de base : 28% des emplois
capacité d’utiliser des terminaux technologiques : 31% des emplois
En ce qui concerne les catégories d’âge, on constate naturellement que la fracture numérique est soluble dans la jeunesse. En effet, si l’on observe les 15-24 ans, 87% d’entre eux sont connectés à Internet. Cette génération est donc équipée des compétences requises pour accéder au marché du travail, selon Microsoft BeLux. Par contre, il est indispensable de développer de nouvelles compétences numériques au sein des catégories d’âges supérieures.
On note des différences sectorielles. Les secteurs financier et du transport n’envisagent qu’une faible proportion d’emplois ne nécessitant aucune connaissance informatique (5%) contre 12% pour l’industrie manufacturière.
pas de connaissance informatique exigée : 10% des emplois
connaissance en e-business : 12% des emplois
connaissances informatiques avancées : 19% des emplois
connaissances informatiques de base : 28% des emplois
capacité d’utiliser des terminaux technologiques : 31% des emplois
En ce qui concerne les catégories d’âge, on constate naturellement que la fracture numérique est soluble dans la jeunesse. En effet, si l’on observe les 15-24 ans, 87% d’entre eux sont connectés à Internet. Cette génération est donc équipée des compétences requises pour accéder au marché du travail, selon Microsoft BeLux. Par contre, il est indispensable de développer de nouvelles compétences numériques au sein des catégories d’âges supérieures.
On note des différences sectorielles. Les secteurs financier et du transport n’envisagent qu’une faible proportion d’emplois ne nécessitant aucune connaissance informatique (5%) contre 12% pour l’industrie manufacturière.
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