
Une récente fuite publiée sur Famiboards a peut-être révélé des détails techniques intéressants sur la très attendue Nintendo Switch 2 , alimentant les attentes des fans et des développeurs. Les rumeurs se concentrent sur la puissance de calcul du GPU, qui varie considérablement entre les modes portable et bureau. Ainsi, nous découvrons qu'en mode portable, le GPU devrait fonctionner à une fréquence de 561 MHz, ce qui se traduit par une puissance estimée à 1,71 TeraFLOPS, tandis qu'en mode fixe, grâce au dock, la fréquence devrait monter à 1000 MHz, atteignant environ 3.1 TéraFLOPS. Ces valeurs placent la console dans une position intermédiaire par rapport aux plateformes existantes. Par exemple, en mode fixe il se rapprocherait des 4 TeraFLOPS de la Xbox Series S, tout en restant légèrement en dessous. En mode portable, cependant, la puissance serait comparable à celle d'une PS4, mais avec l'ajout de technologies avancées telles que NVIDIA DLSS et d'autres solutions d'upscaling qui pourraient améliorer considérablement la qualité graphique perçue.
Le cœur de la console devrait être la puce NVIDIA Tegra 239, basée sur une architecture Ampere et équipée de 2048 cœurs CUDA et d'un CPU à huit cœurs. Ce matériel peut non seulement se concentrer sur la force brute, mais également sur des outils d'efficacité énergétique et d'optimisation graphique supérieurs, rendant possible l'intégration de technologies telles que le traçage de rayons, bien que limitée. Quant aux performances pratiques, les développeurs pourraient utiliser les configurations conçues pour la Xbox Series S comme point de départ pour les adaptations à la nouvelle console de Nintendo. Cependant, la véritable force de la Nintendo Switch 2 réside peut-être dans sa capacité à combiner innovation technologique et design adaptable, offrant une expérience qui va au-delà des simples chiffres techniques.