
"Historiquement, il (Google Translate) n'offrait qu'une traduction pour chaque demande, même si la traduction pouvait être aussi bien au masculin qu'au féminin", reconnaît le blog. "Par conséquent, il reproduisait par inadvertance le sexisme ambiant", note Google. Par exemple: il préférait le masculin pour les mots comme "fort" ou "docteur" et le féminin pour d'autres mots, choisissant "infirmière" ou "belle" plutôt que le masculin. Google promet d'ajouter davantage de langues et de plateformes mais aussi de voir comment il serait possible de rendre sa saisie semi-automatique --qui propose de compléter la recherche pendant que l'on tape les mots-- plus équitable. L'entreprise compte dans un second temps s'attaquer au sujet du genre non-binaire.
