
Selon le New York Times, au moment du départ de M. Rubin, Google a sciemment caché le fait qu'une employée, qui entretenait une liaison avec lui, "l'avait accusé de comportement sexuel inapproprié", à savoir une relation sexuelle imposée en 2013, un épisode qui avait mis fin à leur relation et que la victime présumée aurait dénoncé en interne l'année suivante.
Selon le NYT, une enquête interne avait jugé "crédibles" les accusations de l'employée. Au total, avance le New York Times, Google "a protégé trois cadres dirigeants au cours des dix dernières années, qui avaient été accusés de comportements sexuels déplacés" et n'a pas rendu publiques les accusations.
