
De leurs côtés, les sites internet devront effacer les liens menant vers des contenus illégaux, les compagnies de cartes de crédit devront refuser les transactions bancaires frauduleuses, tandis que les webmaistres de sites illégaux seront poursuivis en justice.
Le projet PIPA n'a donc rien de Middleton, et ne fait pas l'unanimité. Si Microsoft est favorable à son application ainsi que les principaux opérateurs du pays, de nombreuses voix s'élèvent, notamment les
associations de défense des libertés publiques et de la liberté d’expression, mais aussi Google et Yahoo!
