Une voiture qui en jette ou une voiture partagée ? Avant tout, rien de compliqué, répond le Belge
Publié le 14/09/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Kontich, le 14 septembre 2018 – La complexité rebute, la facilité attire. Le choix d'une voiture n'échappe pas à cette règle. C'est ce qui ressort d'une enquête réalisée par une agence indépendante pour le compte d'Opel auprès de 1.000 Belges*. L'étude révèle que pour 8 Belges sur 10, la voiture doit être pratique avant d'en imposer. L'aspect fonctionnel est le plus important. C'est cette recherche de simplicité qui fait que le Belge moyen, surtout en dehors des villes, ne montre que peu d'enthousiasme face à des initiatives comme la voiture partagée. Tout le monde est d'accord pour dire qu'il faut jeter un nouveau regard sur la mobilité, mais en général, la voiture partagée est encore trop souvent assimilée à des formalités et à des incertitudes. « Une réticence pourtant injustifiée, explique Sarah Timmermans, Managing Director d'Opel Belgium. La voiture partagée est une des pistes d'avenir que nous étudions activement. Le secteur automobile va devoir trouver des solutions pour convaincre les usagers. » C'est la raison pour laquelle Opel lance ce mois-ci un projet expérimental de partage à petite échelle, entre voisins. Durant deux mois, trois familles d'un quartier d'Anvers-Berchem et d'un quartier de Nivelles disposeront dans chacune de ces villes d'une Opel Combo Life qu’elles pourront se répartir. « De cette manière, nous éliminons d'emblée une barrière importante, puisque la voiture se partage alors entre personnes qui se connaissent déjà, » ajoute Sarah Timmermans.

L'aspect fonctionnel avant tout

L'étude révèle que pour plus de 8 Belges sur 10, la voiture doit être pratique avant d'en imposer. La priorité va à la facilité, comme le confirme la description de la voiture idéale. Pour le Belge, celle-ci consomme peu (48 %), offre un bon confort (47 %) et respecte la sécurité (44 %). Les innovations technologiques qui renforcent le confort sont très bien accueillies. Par exemple, à l'achat d'une voiture neuve, 6 Belges sur 10 opteraient résolument pour une caméra et des capteurs de stationnement, de préférence à l'avant, à l'arrière et sur les flancs.

Autrement dit, l'assistance au stationnement est devenue incontournable sur un véhicule neuf. La voiture qui s'arrête automatiquement en cas de danger est également bien vue. Pour 47 % des Belges, ce système figure sur la liste des musts de leur prochain achat. Le design (14 %), les logiciels de pointe (5 %), la couleur (2 %) ou une bonne installation musicale (2 %) obtiennent beaucoup moins de suffrages.

Le Belge a besoin d'un coup de pouce pour changer ses habitudes automobiles

À peu près tous les Belges titulaires d'un permis de conduire ont une voiture garée devant chez eux. 34 % des ménages belges possèdent deux voitures ou plus. Il s'agit essentiellement de familles avec enfants cohabitants. Ces familles sont deux fois plus nombreuses (56 %) à déclarer deux voitures ou plus que les personnes sans enfants sous le même toit (25 %). Nous savons que le moment est venu de changer l'usage que nous faisons de la voiture, mais de là à agir concrètement, il y a encore un pas. 58 % des répondants admettent prendre la voiture pour se rendre au magasin du coin, mais 35 % des Belges se sentent parfois coupables de céder si souvent à la tentation.

Quelle est la solution ? Qu'en pense le Belge ? Pour 7 personnes interrogées sur 10, la voiture partagée est un bon moyen de réduire l'empreinte écologique. Pourtant, moins de 1 Belge 10 (7 %) y a recours. Une des principales raisons : la crainte de formalités compliquées (67 %) et l'incertitude quant à l'état dans lequel on va trouver la voiture (66 %).

Projet expérimental d’autopartage au niveau local

« L'enquête le prouve : le Belge sait qu'il va devoir changer ses comportements. Mais les habitudes sont tenaces. Les résultats nous apprennent ainsi que près de 1 Belge sur 2 (46 %) rachèterait la même voiture si elle tombait en panne. La simplicité est importante aussi. Opel veut savoir comment aider le client de demain à faire plus facilement le pas vers un mode de vie plus écologique, » commente Sarah Timmermans. C'est la raison pour laquelle Opel va lancer ce mois-ci, à l'occasion de la Semaine de la Mobilité, un projet expérimental de voiture partagée à l'échelon du quartier.

« Les Belges préfèrent emprunter la voiture de quelqu'un qu'ils connaissent, notamment la famille ou les amis (26 %), plutôt que de se lancer dans le partage avec des tiers (7 %). Le lancement d'une plateforme d’autopartage à l'intérieur d'un quartier élimine donc une grande crainte. La voiture se partage en effet entre personnes qui se connaissent, » précise Sarah Timmermans. Durant deux mois, des familles habitant deux quartiers belges (trois familles à Anvers et trois à Nivelles) disposeront dans chacune de ces villes d'une Opel Combo Life qu'elles devront se partager. Flexible, spacieuse et bien équipée en technologies, la voiture se prête parfaitement à l'approche pragmatique du projet. « Pour le planning et l'enregistrement horaire, nous nous servons d'une appli pratique, Stapp.in. Durant le projet, nous allons répertorier l'utilisation du véhicule pour savoir comment faciliter davantage encore la tâche des usagers. »

*Enquête en ligne réalisée par l'agence iVOX pour le compte d'Opel entre le 9 août 2018 et le 17 août 2018 auprès de 1.000 Belges. La marge d'erreur maximale pour 1.000 Belges s'élève à 3,02 %.

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