La dynastie Trump, vivier d’héritiers en politique
Le flambeau de l’ère Trump sera porté par ses enfants, en particulier le très médiatique Don Jr. A moins que le Parti républicain ne s’avise de contrarier le legs dynastique reproché aux Bush et aux Clinton.
A l’orée de son départ forcé de la Maison Blanche, une interrogation demeure concernant Donald Trump. L’homme qui voulait être roi – et annuler la règle rooseveltienne des deux mandats consécutifs – nourrit-il encore des ambitions, au point de briguer à nouveau la présidence en 2024 ? Ou a-t-il décidé, à 74 ans, de passer la main et d’adouber ses héritiers en politique ?
Le sujet, complexe, trahit le dilemme qui attend le Parti républicain et ses caciques : une fois que la poussière sera retombée sur les décombres de la campagne 2020, l’amour invétéré des légions de supporteurs en casquette rouge se reportera-t-il sur la lignée du président déchu ? Ou retrouveront-elles cette méfiance atavique et typiquement américaine envers les grandes dynasties en politique ? Jeb Bush et Hillary Clinton en avaient fait les frais en 2016.
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir6 Commentaires
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Posté par Desmet Marc, lundi 9 novembre 2020, 19:00
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Posté par COURARD DIDIER, lundi 9 novembre 2020, 17:26
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Posté par Smyers Jean-pierre, lundi 9 novembre 2020, 18:01
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Posté par Joris Michel, lundi 9 novembre 2020, 12:59
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Posté par Deckers Björn, dimanche 8 novembre 2020, 23:17
Plus de commentairesLe "vivier" part avec un terrible handicap... Donald!
Ouais, mais une course à la Présidence c'est vraiment comme une course cycliste, il peut se passer beaucoup de chose. IL faut d'abord être dans une équipe avec de gros sponsors, s'imposer comme leader, ne pas se faire attraper par les contrôles anti-dopage, avoir une bonne tactique de course, construire des alliances, sucer les roues, éviter les chutes tout en provoquant discrètement celles des autres mais au final ce n'est pas toujours le meilleur qui gagne. Le dernier Liège-Bastogne-Liège est vraiment l'illustration sportive de cette élection présidentielle, un candidat qui utilise tous les coups "de coudes" pour écarter ses adversaires puis qui lève les bras trop tôt et se fait "voler" la victoire par le coureur le moins fort et finalement se fait disqualifié par les commissaires. Un clin d'oeil aux ennuis judiciaires qui attendent D. Trump.
Vous êtes Courard-cycliste?
A relativiser : https://www.independent.co.uk/news/world/americas/us-election-2020/trump-ivanka-don-jr-run-for-president-2024-us-election-b1452024.html même si les sondages...
Oh purée! Un de perdu, dix de retrouvés. Misère...