Bavardages » Aujourd'hui... j'ai regardé...
Rappel du message précédent
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 18/01/2010 @ 15:56:42,
Par maxJe ne peux pas me prononcer, j'ai vu le premier dans les conditions "jeune papa qui s'occupe pour la première fois de son bébé un soir alors que la maman est sortie avec des amis".
edit: les dates ne correspondent pas, mais l'idée est là
Dernière édition: 18/01/2010 @ 16:05:43
edit: les dates ne correspondent pas, mais l'idée est là
Dernière édition: 18/01/2010 @ 16:05:43
Trololo
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 18/01/2010 @ 16:56:16,
Par Clandestinosymon> de fait!
hier soir: re-re-re-re Die-Hard - 1988.
Je pense qu'on peut dire qu'on n'a rien fait de mieux depuis (enfin, si: Die-Hard 2,3 et..mouais ...allez 4)
hier soir: re-re-re-re Die-Hard - 1988.
Je pense qu'on peut dire qu'on n'a rien fait de mieux depuis (enfin, si: Die-Hard 2,3 et..mouais ...allez 4)
Dans ce registre, je vote pour le 1 (qui doit énormément à cet acteur génial qu'est Alan Rickman, trop souvent sous-employé) et pour le 3 (grâce à la présence de Samuel L. Jackson et de Jeremy Irons). Les deux autres ne méritent que le titre de "daube" (surtout le 4, même si le coup de la voiture sur l'hélicoptère était jouissif sur le moment).
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 18/01/2010 @ 17:08:04,
Par blietaerhehe j'ai eu un flash quand je me suis dit:"heeee mais c'est le type de love actually"!!
et ..bingo!
Sous-employé, t'es gentil: il parait qu'il est dans tous les Harry-Potter !
Pour le 4 t'es dur: je suis sur que c'est juste parce que tu ne crois pas qu'il soit possible de se tenir debout, accroché à la gouverne d'un jet (ok, _même_ un Harrier)...
et ..bingo!
Sous-employé, t'es gentil: il parait qu'il est dans tous les Harry-Potter !
Pour le 4 t'es dur: je suis sur que c'est juste parce que tu ne crois pas qu'il soit possible de se tenir debout, accroché à la gouverne d'un jet (ok, _même_ un Harrier)...
Et au besoin s'arrêter.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 18/01/2010 @ 17:08:21,
Par antpOui, le 1 et le 3 sont vraiment bons. Le 2e fait pâle figure, et le 4 déçoit même si je l'ai trouvé pas mal comme film d'action.
mes programmes ·· les voitures dans les films ·· champion des excuses bidons
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 18/01/2010 @ 17:43:51,
Par Jean-Christophehehe j'ai eu un flash quand je me suis dit:"heeee mais c'est le type de love actually"!!
Tiens, moi, je me suis dit:"heeee mais c'est le professeur Rogue"!!
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 18/01/2010 @ 20:13:58,
Par testeurdesiteAujourd'hui, j'ai regardé ... défiler des tests à la con sur un minuscule écran d'ordinateur portable pendant 65 minutes.
La liberté d'opinion n'est rien, en regard de la colossale liberté de rester assis au soleil quand on n'a pas envie de travailler.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 19/01/2010 @ 22:34:03,
Par antpJe viens de finir "Time Traveler's Wife", j'ai vraiment bien aimé
mes programmes ·· les voitures dans les films ·· champion des excuses bidons
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 28/01/2010 @ 12:05:10,
Par blietaerDonc 2012....
Le mot qui vient tout de suite à l'esprit, c'est...bcp TROP.
Ce n'est que depuis ma très récente paternité que j'envisage le sacrilège (pourtant parfois déjà toléré dans le domaine de la lecture...) de pouvoir commencer un film sans jamais en voir la fin, et je n'avais appliqué cela qu'à "la personne aux deux personnes", il y a un mois.
Dans le cas de 2012, grace au graaaAAaand écran, je profite de l'excès, du superlatif, du trop, de la démesure, du remplissage, du fourgage, de la masse et du néant.
Et c'est bien fait.
Je ne suis pas assez huguedayé sur les bords pour arriver à snober le scénario d'un Avatar, mais pour me détendre et entrer un minimum dedans, j'ai besoin d'y croire et de prendre le temps d'y croire.
Ici Mr. Emmerich fait tout pour nous tenir écarté du bout d'un ballais:"nanananan vous ne rentrerez pas dans mon film! "
Que le personnage central arrive à faire chialer son père (que l'on ne connait que depuis quelques malheureuses frames) en un coup de fil passe encore, persuader le président des USA en 23 secondes - une fesse sur le bureau de la salle ovale - OK, mais bourrer chaque plan de secousses à peine graduelles, pour laisser enfin s'éventrer la californie, et si possible voler à rase-motte dedans...bof quoi.
Moi je dis le film gagnerait en grandeur (si, si, vous avez bien lu!) en ralentissant.
Et puis pause-changement-de-lange, et là hop...plus de pile dans la télécommande, donc pas accès à la fonction "Pause" et donc pas certain que j'aurais un jour le courage de FF jusque là oùske je me suis arreté.
Le mot qui vient tout de suite à l'esprit, c'est...bcp TROP.
Ce n'est que depuis ma très récente paternité que j'envisage le sacrilège (pourtant parfois déjà toléré dans le domaine de la lecture...) de pouvoir commencer un film sans jamais en voir la fin, et je n'avais appliqué cela qu'à "la personne aux deux personnes", il y a un mois.
Dans le cas de 2012, grace au graaaAAaand écran, je profite de l'excès, du superlatif, du trop, de la démesure, du remplissage, du fourgage, de la masse et du néant.
Et c'est bien fait.
Je ne suis pas assez huguedayé sur les bords pour arriver à snober le scénario d'un Avatar, mais pour me détendre et entrer un minimum dedans, j'ai besoin d'y croire et de prendre le temps d'y croire.
Ici Mr. Emmerich fait tout pour nous tenir écarté du bout d'un ballais:"nanananan vous ne rentrerez pas dans mon film! "
Que le personnage central arrive à faire chialer son père (que l'on ne connait que depuis quelques malheureuses frames) en un coup de fil passe encore, persuader le président des USA en 23 secondes - une fesse sur le bureau de la salle ovale - OK, mais bourrer chaque plan de secousses à peine graduelles, pour laisser enfin s'éventrer la californie, et si possible voler à rase-motte dedans...bof quoi.
Moi je dis le film gagnerait en grandeur (si, si, vous avez bien lu!) en ralentissant.
Et puis pause-changement-de-lange, et là hop...plus de pile dans la télécommande, donc pas accès à la fonction "Pause" et donc pas certain que j'aurais un jour le courage de FF jusque là oùske je me suis arreté.
Et au besoin s'arrêter.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 28/01/2010 @ 12:53:12,
Par SymonBerlin Calling
Histoire d'un dj/producteur qui parcoure le monde et tombe dans la démesure de la drogue. Un cachet lui a suffit a tomber dans une mini démence et fait de lui quelqu'un par moment de schizo. La musique lui apportera au fil du film l'évasion dont il a besoin pour faire disparaitre ses écarts de comportements.
Un film Allemand en sous titres français mais franchement très bien ficellé. J'ai adoré
Histoire d'un dj/producteur qui parcoure le monde et tombe dans la démesure de la drogue. Un cachet lui a suffit a tomber dans une mini démence et fait de lui quelqu'un par moment de schizo. La musique lui apportera au fil du film l'évasion dont il a besoin pour faire disparaitre ses écarts de comportements.
Un film Allemand en sous titres français mais franchement très bien ficellé. J'ai adoré
Ronald un jour, Ronald toujours!
Le tabac c'est tabou, en viendrais-je à bout ?
Twitter: Waiting for... http://t.co/HEb9svij
Le tabac c'est tabou, en viendrais-je à bout ?
Twitter: Waiting for... http://t.co/HEb9svij
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 29/01/2010 @ 11:49:33,
Par guix0104Donc 2012....
Le mot qui vient tout de suite à l'esprit, c'est...bcp TROP.
Ce n'est que depuis ma très récente paternité que j'envisage le sacrilège (pourtant parfois déjà toléré dans le domaine de la lecture...) de pouvoir commencer un film sans jamais en voir la fin, et je n'avais appliqué cela qu'à "la personne aux deux personnes", il y a un mois.
Dans le cas de 2012, grace au graaaAAaand écran, je profite de l'excès, du superlatif, du trop, de la démesure, du remplissage, du fourgage, de la masse et du néant.
Et c'est bien fait.
Je ne suis pas assez huguedayé sur les bords pour arriver à snober le scénario d'un Avatar, mais pour me détendre et entrer un minimum dedans, j'ai besoin d'y croire et de prendre le temps d'y croire.
Ici Mr. Emmerich fait tout pour nous tenir écarté du bout d'un ballais:"nanananan vous ne rentrerez pas dans mon film! "
Que le personnage central arrive à faire chialer son père (que l'on ne connait que depuis quelques malheureuses frames) en un coup de fil passe encore, persuader le président des USA en 23 secondes - une fesse sur le bureau de la salle ovale - OK, mais bourrer chaque plan de secousses à peine graduelles, pour laisser enfin s'éventrer la californie, et si possible voler à rase-motte dedans...bof quoi.
Moi je dis le film gagnerait en grandeur (si, si, vous avez bien lu!) en ralentissant.
Et puis pause-changement-de-lange, et là hop...plus de pile dans la télécommande, donc pas accès à la fonction "Pause" et donc pas certain que j'aurais un jour le courage de FF jusque là oùske je me suis arreté.
Le mot qui vient tout de suite à l'esprit, c'est...bcp TROP.
Ce n'est que depuis ma très récente paternité que j'envisage le sacrilège (pourtant parfois déjà toléré dans le domaine de la lecture...) de pouvoir commencer un film sans jamais en voir la fin, et je n'avais appliqué cela qu'à "la personne aux deux personnes", il y a un mois.
Dans le cas de 2012, grace au graaaAAaand écran, je profite de l'excès, du superlatif, du trop, de la démesure, du remplissage, du fourgage, de la masse et du néant.
Et c'est bien fait.
Je ne suis pas assez huguedayé sur les bords pour arriver à snober le scénario d'un Avatar, mais pour me détendre et entrer un minimum dedans, j'ai besoin d'y croire et de prendre le temps d'y croire.
Ici Mr. Emmerich fait tout pour nous tenir écarté du bout d'un ballais:"nanananan vous ne rentrerez pas dans mon film! "
Que le personnage central arrive à faire chialer son père (que l'on ne connait que depuis quelques malheureuses frames) en un coup de fil passe encore, persuader le président des USA en 23 secondes - une fesse sur le bureau de la salle ovale - OK, mais bourrer chaque plan de secousses à peine graduelles, pour laisser enfin s'éventrer la californie, et si possible voler à rase-motte dedans...bof quoi.
Moi je dis le film gagnerait en grandeur (si, si, vous avez bien lu!) en ralentissant.
Et puis pause-changement-de-lange, et là hop...plus de pile dans la télécommande, donc pas accès à la fonction "Pause" et donc pas certain que j'aurais un jour le courage de FF jusque là oùske je me suis arreté.
Je suis tout à fait d'accord avec toi, en plus du fait que le pilote du président italien se crache et pas le docteur qui a que quelques heures de vols mdr ^^ !
Et ce qui me dérange tjs c'est aussi ce côté biblique typique américain
J'attribuerai une note de 6/10 pour le scénario et 8/10 pour les graphismes
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 29/01/2010 @ 12:22:09,
Par blietaerEt ce qui me dérange tjs c'est aussi ce côté biblique typique américain
Tu pousses un peu, il faut leur rendre cela: je pense qu'il est clair que le monde ne pourrait jamais exister sans les américains.
Dernière édition: 29/01/2010 @ 12:24:18
Et au besoin s'arrêter.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 02/02/2010 @ 06:09:20,
Par H2G2Hier, on a regardé l'épisode 14 de la saison 6 des Desperate Housewives.
Il y a une scène dans une boîte de striptease où Susan, voyant une fille en train de lire un bouquin, regarde la couverture et s'exclame
à quoi la fille répond
Et là... j'avoue que je suis curieux de voir comment les traducteurs vont se débrouiller pour la VF
Il y a une scène dans une boîte de striptease où Susan, voyant une fille en train de lire un bouquin, regarde la couverture et s'exclame
"Moby Dick"?
à quoi la fille répond
It's not what you think.
It's about a whale.
It's about a whale.
Et là... j'avoue que je suis curieux de voir comment les traducteurs vont se débrouiller pour la VF
« Nul n'éprouvette en son pays. » (Louise Brown)
Twitter: Quand le besoin est pressant, tous les lieux sont propices.
Twitter: Quand le besoin est pressant, tous les lieux sont propices.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 02/02/2010 @ 08:03:28,
Par ClandestinoHZG2 > C'eut été plus facile si les scénaristes l'avaient fait s'exclamer "Moby's Dick"
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 02/02/2010 @ 08:07:17,
Par philfrIls risquent de traduire Moby Dick par Roger Rabbit...
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 03/02/2010 @ 10:21:13,
Par sphinx2012 et Låt den rätte komma in
pour 2012 : scénario a 2 francs, il n'y a que des incohérences
on sais que la fin est proche et on a le temps de faire des arches mais pas assez malin pour faire toutes les lignes de montage en même temps pour tous les terminer en meme temps, on a des super chercheur partout mais ils travaillent avec des silex limite
on a le bon président qui préfère mourir avec son peuple,
mais surtout le fait que les routes se détruisent au fur et a mesure que les voiture/ avions roule dessus et dans le sens de la voie
les avions qui volent a 10 mètres du sol etc
et puis les vagues qui font 100 km dans les terres et qui passent les montagnes sans jamais diminuer
sinon Låt den rätte komma
un film plutôt étrange mais pas mauvais
Let the Right One In (Swedish: Låt den rätte komma in), also known as Let Me In, is a 2004 vampire fiction novel by Swedish writer John Ajvide Lindqvist. The story centers on the relationship between a 12-year-old boy, Oskar, and a centuries-old vampire child, Eli. It takes place in Blackeberg, a working class suburb of Stockholm, in the early 1980s. The book focuses on the darker side of humanity, dealing with issues such as bullying, drugs, theft, pedophilia, prostitution and murder as well as the obvious supernatural themes.
pour 2012 : scénario a 2 francs, il n'y a que des incohérences
on sais que la fin est proche et on a le temps de faire des arches mais pas assez malin pour faire toutes les lignes de montage en même temps pour tous les terminer en meme temps, on a des super chercheur partout mais ils travaillent avec des silex limite
on a le bon président qui préfère mourir avec son peuple,
mais surtout le fait que les routes se détruisent au fur et a mesure que les voiture/ avions roule dessus et dans le sens de la voie
les avions qui volent a 10 mètres du sol etc
et puis les vagues qui font 100 km dans les terres et qui passent les montagnes sans jamais diminuer
sinon Låt den rätte komma
un film plutôt étrange mais pas mauvais
Let the Right One In (Swedish: Låt den rätte komma in), also known as Let Me In, is a 2004 vampire fiction novel by Swedish writer John Ajvide Lindqvist. The story centers on the relationship between a 12-year-old boy, Oskar, and a centuries-old vampire child, Eli. It takes place in Blackeberg, a working class suburb of Stockholm, in the early 1980s. The book focuses on the darker side of humanity, dealing with issues such as bullying, drugs, theft, pedophilia, prostitution and murder as well as the obvious supernatural themes.
Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux. (Proverbe Bambara)
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 03/02/2010 @ 10:25:03,
Par antpLundi j'ai vu Mr. Nobody, c'est chouette
mes programmes ·· les voitures dans les films ·· champion des excuses bidons
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 05/02/2010 @ 10:16:22,
Par maxIls ont traduit pas Moby Dick et tout le monde est content parce qu'on n'est pas si idiot que ça toute même, c'est pas comme si on regardait l'épisode sur TF1 ou RTL....
Trololo
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 05/02/2010 @ 10:18:41,
Par Jean-ChristopheHier, nous avons regardé "slumdog millionaire". C'était bien. On a passé un bon moment.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 05/02/2010 @ 18:29:03,
Par BulleOuaip !
J'avais lu et apprécié le roman initial, et j'aime beaucoup l'adaptation, fidèle sans tomber dans le larmoyant, bien que ça tire un chouïa trop vers le happy end. Et j'aime beaucoup la bande son.
J'avais lu et apprécié le roman initial, et j'aime beaucoup l'adaptation, fidèle sans tomber dans le larmoyant, bien que ça tire un chouïa trop vers le happy end. Et j'aime beaucoup la bande son.
It's true that we don't know what we've got 'til it's gone, but it's also true that we don't know what we've been missing until it arrives.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 06/02/2010 @ 11:00:44,
Par testeurdesiteFini de regarder Heros saison 3
Série facile sans prétention.
Avis neutre sans plus.
Série facile sans prétention.
Avis neutre sans plus.
La liberté d'opinion n'est rien, en regard de la colossale liberté de rester assis au soleil quand on n'a pas envie de travailler.
Aujourd'hui... j'ai regardé...
Publié le 12/02/2010 @ 15:07:49,
Par ClandestinoHeroes 4x19... Pourquoi ai-je la désagréable impression que c'était le show finale ?