Les décideurs IT belges accordent plus d’importance à la compétitivité qu’à la sécurité des données
Publié le 13/09/2016 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Près de la moitié des décideurs informatiques belges indiquent que les avantages de la mobilité professionnelle l’emportent sur de possibles risques de sécurité. Tel est l’un des enseignements tirés de l’étude réalisée par Vanson Bourne à la demande de VMware, leader mondial dans le domaine des infrastructures cloud et de la mobilité professionnelle. Ses conclusions confirment le sentiment qui prédomine aujourd’hui dans la zone EMEA, où près de la moitié des décideurs informatiques (47%) subissent une telle pression pour améliorer leurs performances en termes de mobilité professionnelle qu’ils n’hésitent pas à prendre des risques mesurés en matière de sécurisation des données de l’entreprise. Ce sont les pays nordiques qui prennent le moins de risques (17%) tandis que les décideurs allemands sont prêts à prendre le plus de risques (65%).

L’étude, qui a été menée auprès de 1.700 décideurs informatiques et 3.500 employés opérant dans la zone EMEA, révèle par ailleurs que plus des trois-quarts (81%) des décideurs informatiques belges indiquent que ce sont leurs employés qui réclament davantage de mobilité. Près d’un quart des employés belges (23%) sont d’avis qu’un manque de mobilité se traduira par une baisse de la productivité. Pour satisfaire cette demande de regain de mobilité, les équipes doivent être organisées de la manière la plus agile possible. Les entreprises doivent toutefois faire en sorte d’y parvenir sans pour autant perdre la maîtrise de leurs processus de sécurisation.

La mobilité, principale vulnérabilité en cas de cyber-attaque

La pression pour plus de productivité s’exerce par le haut. Près d’un employé belge sur cinq (18%) transgresse régulièrement les règles de mobilité édictées par leur entreprise afin de pouvoir travailler de manière plus productive. Par ailleurs, plus d’un tiers (32%) des responsables informatiques belges affirment que les membres de la direction exercent une pression sur eux afin de pouvoir accéder aux données de l’entreprise à partir de leurs propres appareils mobiles, même si cela s’avère contraire à la politique de la société. L’octroi d’accès est à l’origine du problème. C’est ainsi que plus d’un tiers des responsables informatiques belges (33%) se disent inquiets des possibles risques de sécurité que peut provoquer le fait que les employés utilisent leurs propres appareils pour effectuer leur travail. Plus d’un tiers d’entre eux (40%) indiquent par ailleurs qu’il s’agit là de la principale vulnérabilité, porte ouverte à une cyber-attaque.

“Pour le dire simplement: aucune transformation numérique n’est possible sans mobilité. Cela signifie que les entreprises subissent une pression croissante pour progresser et innover. Elles prennent des risques à court terme en matière de sécurité afin de rendre l’équipe et le fonctionnement de l’entreprise les plus agiles possible”, déclare Tom Vallons, spécialiste en mobilité professionnelle chez VMware Benelux. “La bonne nouvelle, c’est qu’il n’est pas nécessaire de faire de compromis entre la mobilité et la sécurité. Une architecture définie par logiciel peut permettre d’intégrer la sécurité au sein-même de l’application, au coeur du réseau ainsi qu’au niveau du contenu et de l’utilisateur. Cela permet aux entreprises de créer des espaces de travail numériques sécurisés, où les utilisateurs ont accès aux données dont ils ont besoin, qui correspondent au rôle qui est le leur, et ce, au départ de n’importe quel appareil.”

Des directives mobiles méconnues

Un certain nombre de collaborateurs belges admettent faire preuve de moins de rigueur lorsqu’il s’agit de protéger des données se trouvant sur des équipements professionnels que lorsque les données concernées résident sur des équipements personnels. Plus d’un quart d’entre eux (28%) indiquent faire davantage attention à la protection des données logées sur leurs propres équipements qu’à celle d’informations contenues dans des équipements professionnels. Lorsqu’il s’agit de travail mobile, moins de la moitié (46%) des employés disent savoir ce que prévoient réellement les directives de la société en matière de mobilité. Cela signifie que la majorité d’entre eux n’ont pas conscience des infractions éventuelles qu’ils commettent par rapport à la politique de l’entreprise.

“Les départements informatiques doivent se mettre en quête de solutions qui leur évitent de devoir faire des compromis entre la mobilité et la sécurité. Notre technologie permet aux collaborateurs d’avoir accès aux données de l’entreprise dont ils ont besoin pour bien faire leur travail. Dans le même temps, nous proposons aux entreprises une supervision et une maîtrise totale sur la nature des accès qu’a chaque collaborateur, application par application. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut rendre possible une réelle mobilité professionnelle”, conclut Tom Vallons

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