Près de la moitié des décideurs IT belges déclarent ne pas avoir informé
Publié le 08/07/2016 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Près d’un quart des employés de bureau, dans la zone EMEA, estiment que le PDG devrait être tenu responsable d’une faille de données majeure

Toutefois, 48 % des décideurs IT ont admis ne pas informer leur direction d’une atteinte majeure à la sécurité des données

Près de 7 décideurs IT belges sur 10 s’attendent à ce que leur organisation soit victime d’une cyber-attaque majeure au cours des trois prochains mois (contre une moyenne de 37 % en zone EMEA)

VMware, Inc. (NYSE: VMW), leader mondial en matière d’infrastructures cloud et d’entreprise mobile, dévoile les résultats d’une enquête de l’agence d’études de marché spécialisées Vanson Bourne qui révèle que près de la moitié des décideurs IT belges (48 %) ont admis ne pas avoir signalé une importante atteinte à la protection des données à leur direction. Pour l’ensemble des décideurs IT de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), le pourcentage n’est que de 25 %. Toutefois, près d’un tiers (30 %) des décideurs IT et près d’un quart (23 %) des employés de bureau à travers toute la zone EMEA estiment que le PDG devrait être tenu pour responsable en cas d’atteinte majeure à la sécurité des données.

Cette lacune dans le processus de divulgation semble indiquer qu’en Belgique - plus encore que dans le reste de la zone EMEA -, les équipes dirigeantes ne disposent pas de toutes les informations en matière de risques induits par les brèches de sécurité, alors même qu’un quart des employés de bureau estiment que ces mêmes équipes dirigeantes devraient être tenues pour responsables. Ce constat est encore renforcé par les résultats d'une autre étude, parrainée par VMware et effectuée par l'Economist Intelligence Unit, qui, en début d’année, avait révélé que seulement 8 % des chefs d’entreprise, dans la zone EMEA, considèrent la cyber-sécurité comme une priorité pour leur organisation. A l’heure où les cyber-attaques s’intensifient et provoquent davantage de dommages au sein des entreprises, en ce compris une perte de propriété intellectuelle, d’avantage concurrentiel et de données clientèle, ces perceptions contradictoires peuvent potentiellement avoir un impact majeur à la fois pour les performances et pour la marque.

Les décideurs IT belges apparaissent par ailleurs nettement plus fatalistes que la moyenne de leurs homologues EMEA à propos de la probabilité qu’une cyber-attaque atteigne ses objectifs: près de 7 Belges sur 10 ayant participé à l’enquête (69 %) s’attendent à ce que leur organisation soit victime d’une cyber-attaque, soit près du double du pourcentage moyen relevé dans l’ensemble de la zone EMEA (37 %).

Les vulnérabilités imposent une nouvelle approche de la sécurité

Dans un monde professionnel de plus en plus numérisé, les méthodes de sécurité qui sont aujourd’hui utilisées risquent de ne plus être en phase avec les complexités qui le caractérisent. En fait, près de la moitié des décideurs belges (47 %) estiment que l’une des principales vulnérabilités dont souffre leur organisation face à une cyber-attaque vient de menaces qui évoluent plus rapidement que les défenses qu’on leur oppose. Sur ce point, le pourcentage, dans l’ensemble de la zone EMEA, est de 37 %.

“Le décalage que l’on constate entre les chefs d’entreprise et les décideurs IT est symptomatique du défi sous-jacent auquel les entreprises doivent faire face alors qu’elles cherchent à repousser leurs limites, à se transformer et à se différencier, tout en protégeant leurs activités contre des menaces dont la nature ne cesse d’évoluer”, commente Joe Baguley, directeur technologique de VMware EMEA. “Les entreprises qui rencontrent aujourd’hui le plus de succès sont en mesure d’agir et de réagir rapidement et de préserver leur marque et la confiance de leurs clients. Dans un contexte où les applications et les données utilisateurs gagnent un nombre croissant de dispositifs, dans une diversité de lieux plus grande que ce qu’on a connu jusqu’ici, ces entreprises ont redéfini leur approche traditionnelle de la sécurité informatique, qui n’est potentiellement plus en mesure de protéger les activités numériques qui sont aujourd’hui les leurs.”

Les ressources humaines et les processus sont des facteurs aussi importants que la technologie

Quelques-unes des principales vulnérabilités qui guettent la sécurité d’une entreprise trouvent leur source au sein-même de l’organisation. 46 % des décideurs IT belges citent la négligence des employés ou leur manque de formation en matière de cyber-sécurité comme étant le plus grand défi auquel leur entreprise doit faire face. L’enquête dévoilée aujourd’hui révèle par ailleurs les mesures que les employés sont prêts à prendre afin d’accroître la productivité. Près d’un cinquième (19 %) utilisent leur système personnel pour accéder aux données de l’entreprise et 17 % seraient prêts à risquer de ne pas être en règle avec les règles de sécurité de leur entreprise pour pouvoir effectuer leur travail de manière efficace. Autre constat étonnant: les employés belges qui sont prêts à prendre le risque de ne pas se conformer à la politique de sécurité de leur organisation sont plus nombreux (25 %) que la moyenne des participants européens de l’étude (17 %).

“La sécurité n’est pas uniquement une question de technologie. Comme le démontre l’étude, les décisions et les comportements des gens ont un impact sur l’intégrité d’une entreprise”, commente Joe Baguley, directeur technologique de VMware EMEA. “Toutefois, il ne s’agit pas de tout verrouiller ou de créer une culture de la peur. Des organisations faisant preuve d’intelligence devraient veiller à procurer des moyens d’action à leurs employés au lieu de restreindre leur potentiel - autrement dit, leur permettre de s’épanouir, d’adapter les processus et de transformer les activités afin de réussir.

“Ces entreprises comprennent que la sécurité réactive d’aujourd’hui ne réussit plus à protéger les applications et les données. En adoptant une approche de l’informatique définie par logiciel, selon laquelle la sécurité est intégrée à même l’architecture de chaque élément, ces entreprises ont acquis la flexibilité nécessaire à la fois pour sécuriser et pour réussir en tant qu’entreprise numérique”, conclut Joe Baguley.

Poster un commentaire
Vous devez être identifié pour accéder à cette fonctionnalité

Utilisateur
Mot de passe
 
Informaticien.be - © 2002-2024 AkretioSPRL  - Generated via Kelare
The Akretio Network: Akretio - Freedelity - KelCommerce - Votre publicité sur informaticien.be ?