Le Belge affiche une utilisation classique du smartphone
Publié le 02/10/2015 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Anvers - Le Belge moyen s’avère être un utilisateur traditionnel en matière d’applications mobiles. Parmi les 5 applis qu’il utilise quotidiennement, les plus populaires concernent la consultation de son agenda, de ses courriels personnels, la visite de sites Internet et la fréquentation des réseaux sociaux. Tels sont les enseignements tirés d’un sondage réalisé auprès de 1.000 Belges par le bureau d’études de marché indépendant iVOX pour le compte d’iCapps, concepteur belge d’applications professionnelles pour environnements Web et mobiles.

La majorité des personnes interrogées détentrices d’un smartphone (67 %) confirment utiliser quotidiennement une moyenne de 5 applications mobiles différentes. Un Belge sur quatre utilise 10 applis ou plus par jour.

Une utilisation traditionnelle du smartphone

Le Belge utilise essentiellement les applis de son smartphone pour vérifier ses courriels personnels et son agenda (55 %), pour surfer et pour consulter les médias sociaux (41 % dans ces deux derniers cas). Un trio de tête plutôt traditionnel et sans grande surprise.

Il apparaît toutefois que les applis servant à la prise et au visionnement de photos (34 %) ainsi qu’aux jeux (31 %) sont davantage utilisées que celles destinées à la consultation des courriels professionnels (22 %). Bonne dernière dans la liste, on notera l’utilisation d’applications orientées sport (5 %) telles que Strava, Runkeeper et Endomondo.

“En d’autres termes, nous utilisons principalement notre smartphone pour des applications “traditionnelles” que nous utilisons également sur notre ordinateur domestique ou notre ordinateur portable, qu’il soit de format ‘laptop’ ou ‘notebook’”, déclare Philip Verschueren, associé gérant d’iCapps. “C’est dommage étant donné que le smartphone est nettement plus compact et peut donc également être utilisé en dehors du domicile. On peut par exemple penser à des paiements via smartphone. Il semble toutefois que ce mode d’utilisation d’appli soit pour l’instant réservé à un petit groupe de précurseurs.”

Le courriel pour les hommes, les jeux pour les femmes

Lorsque l’on compare le nombre d’applis utilisées par les hommes et les femmes, il apparaît clairement que les hommes utilisent davantage d’applis que les femmes. Près d’un homme sur quatre (24 %) utilise quotidiennement plus de 10 applications différentes, là où cette proportion n’est que d’une sur six chez les femmes. Les hommes utilisent par ailleurs davantage d’applis professionnelles, par exemple pour consulter leur agenda et leur courriel professionnel (25 %) ou encore leurs finances (21 %). Les femmes, de leur côté, utilisent plutôt le smartphone pour s’adonner à des jeux (37 %), tels que les très populaires Candy Crush ou Subway Surfers.

Les applis doivent être véloces et gratuites

La majorité des personnes interrogées estiment qu’il est important qu’une application mobile fonctionne avec souplesse et rapidité (71 % pour ces deux critères) et qu’elle soit gratuite (70 %). Un peu plus d’un Belge sur deux accorde de l’importance au respect de la vie privée (55 %). La préférence pour une appli dans sa propre langue (27 %) et une appli qui soit à jour (22 %) n’est pointée qu’en toute fin de classement.

Philip Verschueren, associé gérant d’iCapps, convient de l’importance que revêt la fonctionnalité d’une appli. “L’utilisateur n’est pas le seul à demander avant tout d’une appli qu’elle fonctionne vite et bien. Ce sont là également des conditions très importantes pour l’éditeur et pour nos User Experience Experts lorsqu’il s’agit d’imaginer et de concevoir de nouvelles applis. De même que la sécurité, bien entendu. Bien que notre boîte de courriel soit submergée, semaine après semaine, d’invitations pour des séminaires consacrés à la cybercriminalité, les utilisateurs se préoccupent encore trop peu de sécurité et de vie privée. Heureusement, on peut compter sur des développeurs fiables qui tiennent compte des indispensables aspects de sécurité et de vie privée, et ce, dès le stade de la conception. Chez iCapps, les applications qui contiennent des données sensibles sont soumises à des audits internes et externes. Nous ne prenons absolument aucun risque.”

Un Belge sur 3 ne possède pas de smartphone

Tout le monde est loin d’avoir pris le train de la révolution numérique en marche: 33 % des Belges ne possèdent pas de smartphone. Sans surprise, ce pourcentage augmente avec l’âge: 57 % dans la tranche d’âge 50-65 ans vit au quotidien sans smartphone. Ils sont 29 %, dans la catégorie des 35-49 ans à ne pas posséder de smartphone. Chez les jeunes de 18 à 34 ans, les sans-smartphone ne sont que 15 %. On peut donc déduire de ces chiffres qu’un nombre croissant de personnes auront sans doute, demain, le regard rivé à l’écran de leur mobile.

Philip Verschueren, associé gérant d’iCapps, estime qu’une nouvelle génération d’appareils mobiles a un rôle important à jouer: “De nouveaux écrans feront bientôt leur apparition sur le marché. Des écrans qui ne feront plus partie intégrante des appareils connectés tels que nous les connaissons aujourd’hui. Ils deviendront plus minces, pliables, voire même incrustés dans des sparadraps que nous pourrons coller sur notre corps ou sur des produits au supermarché. La prochaine génération d’applis communiquera avec notre T-shirt connecté, avec notre voiture ou avec l’emballage d’un morceau de viande au rayon frais du supermarché.”

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